Ensemble de 44 oeuvres anciennes personnelles recouvertes de peinture blanches puis poncées et grattées afin d'en révéler la surface.
Tout n’est pas perdu, un projet qui questionne l’effacement, le recouvrement et les résurgences; en tension permanente entre oubli et mémoire, entre page blanche et archéologie des gestes passés. La contradiction assumée de l’acte blasphématoire de recouvrir des œuvres pour en retrouver les gestes primaires, les sédiments qui devront/pourront perdurer. Une installation compulsive, brute et douce...
Marie-Cécile Conilh de Beyssac